Quelle aubaine de mettre à profit ce temps de “pseudo” confinement pour se poser quelques questions sur notre santé et sur la Santé en général. Pour cela nous commençons par un bref constat.
En l’absence d’une politique d’information et de communication qui prône la santé, nous sommes en mesure de dire qu’actuellement nous faisons partie d’une société qui vit dans un système de maladie et non de santé. Pourquoi ? Parce que tout ce que nous faisons est impacté par ce système là et l’intérêt de ce système est que le malade passe aveuglément par la case “médecins”, “hôpitaux”, “pharmacies”, “centres spécialisés”, “maisons de repos” pour la prise en charge de notre mal être ainsi que toutes sortes de consommation “divertissantes” et/ou addictives à des fins compensatoires pour notre “convalescence”. Ce qui ramène à dire que finalement notre système traite les symptômes et non les causes.
Le système économique organisant notre système de santé fonctionnerait-il en capitalisant sur notre dépendance ? Ou bien est-ce cette chape d’ignorance qui nous maintient dans l’illusion concernant notre santé ? Eh bien sachant que l’ignorance est à la base de toute peur nous sommes tenté de dire que OUI, tant que nous sommes malades nous sommes “bankable”, OUI, tant que nous ignorons les lois du vivant et de la nature nous sommes tous dépendants des médicaments et des vaccins proposés, OUI, tant que nous continuons à chercher une solution et une aide extérieure nous sommes à la merci de toutes sortes de croyances qui nous font perdre notre libre arbitre et finalement nous assujettis à “Big Pharma”. Ceux qui nous soignent sont eux-mêmes rémunérés par ceux qui fabriquent les médicaments, n’est-ce pas un cercle vicieux ?
Aujourd’hui nous sommes privés de notre liberté au nom de la sécurité collective avec le confinement qui est une mesure aussi radicale qu’incompréhensible car on nous impose une solution préventive qui est insignifiante si elle ne fait pas partie d’un plan plus général qui inclut un dépistage de masse.
Nous pouvons également nous interroger sur le choix du gouvernement et des médias de nous communiquer uniquement les chiffres des personnes infectées, traitées et décédées du Covid19 et de faire l’impasse sur les chiffres qui concernent les pertes humaines dues aux autres pathologies ? Certes ces chiffres là sont consultables sur les sites officiels mais pourquoi ne pas se servir de la conférence de presse télévisée à laquelle on est maintenant habitué, pour en informer la population ? Pourquoi ne pas également expliquer à la population, de l’importance de renforcer ses défenses immutaires comme le font les spots publicitaires pour l’apprentissage de bien se laver les mains ?!?! Qu’est-ce qui motive cette sélection de l’information ?
Pasteur aurait reconnu sur son lit de mort “Le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout“.
En effet, si la réaction de tout organisme confronté au virus du Covid19 était similaire pour chaque individu, à savoir une attaque systématique de nos défenses immunitaires avec une aggravation des symptômes alors on serait en droit de dire que seul le facteur viral est à prendre en compte et par conséquent nous pourrions aisément comprendre la peur (pour ne pas dire la terreur) qui nous maintient dans cet état anxiogène que connait le monde entier aujourd’hui. Or, nous constatons qu’il existe bien un 2e facteur (et non des moindres) à prendre en compte, en l’occurrence notre propre système immunitaire, ce qui change toute la donne voir, notre regard sur la question.
Dans 1 M3 d’air il y a entre 2 et 40 millions de virus ce qui veut dire que nous vivons déjà avec les virus donc croire que nous n’allons pas rencontrer un jour le covid19 est une pure illusion parce que le virus est bel est bien là dans notre environnement et nous allons devoir apprendre à vivre avec (avec ou sans masque(carade) car à moins que nous ayons tous des masques chirurgicaux qui ne laissent filtrer l’air, tous les autres masques ne serviront à éviter la projection des microbes mais n’apporteront aucune protection à son utilisateur car le virus est partout dans l’air et son ingestion est inévitable) d’où l’obligation de prendre conscience au plus vite comment être prêt à y faire face et à participer au plus vite au développement de l’immunité de groupe ce qui aiderait à écourter le confinement et éviter les 2e et 3e vagues. Une personne en bonne santé a des ressources nécessaire pour faire face au virus sans traitement extérieur ni vaccin, mais juste en appliquant des méthodes naturelles pour renforcer son organisme afin que son corps soit capable de résister et de diminuer les risques de développer les symptômes les plus graves du Covid19.
Il est également bon de savoir que notre corps compte plus de virus, de bactéries, de levures et de champignons que de cellules ce qui signifie que tous les virus ne sont pas dangereux. Dans les années 50-60 il existait la pratique du “Pox Party” qui était organisée (par les opposants à la vaccination) dans le but de réunir des groupes d’enfants et de les mettre en contact avec un autre enfant atteint d’une maladie infantile (telle que la rougeole ou la variole) afin de développer une immunité de groupe. Cette immunité naturelle (gratuite) s’oppose à l’immunité vaccinale (payante). La différence étant que quand on contracte le virus par les voies respiratoires ou les voies digestives, toutes les barrières de l’immunité sont sollicitées à savoir l’immunité mucosale, l’immunité humorale et l’immunité cellulaire, à partir de là le corps va développer une immunité hétéro subtypique et cette dernière va offrir une protection supplémentaire aux attaques des souches virales qui vont suivre. C’est l’immunité naturelle construite par ingestion. A l’inverse l’immunité vaccinale s’explique par l’injection directe de la souche virale qui va passer uniquement par la barrière de l’immunité humorale au détriment des 2 autres immunités. La nature serait-elle bien faite ?!?!
Notons tout de même qu’en revanche, la toxicité et la dangerosité du virus seront préjudiciables pour les individus dont le système immunitaire est faible ou déficient et plus précisément pour ceux qui ont déjà de lourdes pathologies que l’on connaît comme étant les maladies Cardiovasculaires, les cancers, le diabète, etc. D’ailleurs, on pourrait encore une fois se demander pourquoi est-ce que les autorités et les médias n’informent t-ils pas la population que ce sont de ces pathologies là dont meurent les personnes les plus fragiles et non du Covid 19 ?!
Dans l’immédiat, face à la pandémie nous avons donc deux possibilités d’aborder la situation :
- La victimisation en prenant en compte la souffrance extérieure sous tous ses aspects,
- L’apprentissage par une dynamique personnelle qui, au préalable, commencerait par l’acquisition d’une connaissance de base de notre santé dans sa globalité.
Gandhi a dit “Soyez le changement que vous souhaitez pour le monde“. Un formidable conseil qui prend tout son sens aujourd’hui plus que jamais.
“Qu’est-ce qu’est la santé ?” La santé globale ou “holistique” englobe la santé du corps physique, la santé du corps mentale, la santé du corps émotionnelle et la santé du corps spirituelle. Ces aspects spécifiques de la santé sont indissociables et interagissent en synergie pour résulter d’une vitalité optimale. Ce qu’il y a de gratifiant dans la médecine holistique qui tient compte de ces différents corps c’est que non seulement l’idée étant de soigner mais également d’éduquer car nous sommes obligés d’aller chercher des clés afin de pouvoir avoir une compréhension de notre santé et ce n’est qu’à ce prix que nous deviendrons responsables, indépendants et autonomes.
N’en déplaise (encore une fois) à l’industrie de la maladie, nous sommes des organismes vivants qui évoluons en fonction de notre environnement avec une capacité déconcertante à nous adapter et à nous régénérer quand nous connaissons et appliquons les principes ou les lois de notre nature et de la nature. Surtout quand nous prenons conscience et intégrons que la solution nous vient toujours de l’intérieur et non de l’extérieur. Mais pour cela nous devons passer obligatoirement par un changement de notre système de croyance. Sommes-nous prêts à nous responsabiliser et à accepter l’idée que la maladie n’existe pas et que ce que l’on appelle maladie ne sont que des symptômes représentant des signaux d’alarmes ?!?! Une alarme qu’aurait notre corps pour nous avertir que quelque chose ne va pas parce que nous avons tout simplement ignoré les principes de base pour pouvoir maintenir notre santé dans un parfait état d’homéostasie ???
Ce même concept est-il dénué de bon sens si nous prenons en considération les principaux piliers d’une bonne santé ?!?! Cette dynamique de penser et d’agir ne prend t’elle pas tout son sens?!?! L’autonomie de la santé c’est de se prendre en charge afin d’être libre et de devenir partisans de notre avenir.
Au vu des actualités il serait sans doute salutaire de se recentrer pour un retour aux sources, un retour à la terre et cela ne va dépendre que des moyens que l’on veut se donner et si l’on est prêt à se responsabiliser. Pour retrouver la liberté et acquérir l’autonomie de notre santé il serait judicieux de nous appuyer sur ses principaux piliers tels que :
- une alimentation saine, équilibrée et le moins industrialisé possible
- la pratique d’une activité physique et quotidienne
- privilégier le repos et la détente avec un sommeil de qualité
- favoriser et entretenir sainement les contacts humains
- prendre en considération la gestion émotionnelle pour contrôler le stress
- retrouver un “ancrage” spirituel
- l’apprentissage de tous les principes “hormétiques” pour développer ses capacités adaptatives, etc.
“QUE TON ALIMENT SOIT TON SEUL MEDICAMENT” Hippocrate (460 – 370 av JC)
